Bilan kiné
Le Bilan Diagnostic Kinésithérapique instantané s’adresse à tous les masseurs kinésithérapeutes souhaitant valoriser leur activité tout en optimisant la réalisation de leur bilan kiné. Simple et modulable, naviguez de façon intuitive pour construire rapidement des bilans clairs et conformes.
INSTANTANÉ, MODULABLE
INTUITIF et RÉMUNÉRATEUR
Avant de prescrire et d’entamer tout traitement thérapeutique, le kinésithérapeute doit réaliser une évaluation. Grâce à ce diagnostic, il pourra définir les soins à pratiquer. Cette étape obligatoire sert donc de ligne directrice durant tout le processus de guérison.
Le BDK : un élément essentiel pour les kinés
Le BDK fait référence au Bilan Diagnostic Kinésithérapique. Il permet au thérapeute d’établir le diagnostic du patient, de suivre les évolutions des symptômes et d’être en liaison avec le docteur qui a prescrit les soins.
Le 8 octobre 1996, le décret n°96-879 a rendu indispensable le bilan diagnostic kinésithérapique. Le décret dont il est question préconise de faire trois évaluations durant tout le processus de traitement du patient. Ainsi, le professionnel doit faire un bilan kiné avant, pendant et après les soins.
Tous les documents relatifs au bilan initial doivent être vérifiés. Le médecin prescripteur, après avoir consulté tous les BDK, peut intervenir durant le processus de traitement et exiger un changement de procédé ou demander que le processus soit arrêté si le besoin se fait sentir. Par ailleurs, le masseur kinésithérapeute devra envoyer ses notes de synthèse à cette autorité de santé dans les cas suivants :
- lorsque le nombre complet de séances prévues est égal ou supérieur à 10 ;
- lorsque les soins prévus au départ demandent des changements en raison de l’évolution de l’état du patient ;
- si une complication survient au cours des séances de kinésithérapie.
Si le médecin est d’accord avec les conclusions du bilan diagnostic kiné, la demande de prise en charge peut être transmise à la Sécurité Sociale. Toutes les séances réalisées par le patient seront alors couvertes par l’organisme.
Différentes raisons peuvent amener un masseur kinésithérapeute à faire un bilan kiné. Après le diagnostic médical, cette évaluation peut servir à définir les objectifs et les moyens thérapeutiques à mettre en œuvre. Il peut aussi aider à effectuer un ajustement des techniques utilisées avec un patient. Dans ce dernier cas, il est nécessaire que le bilan soit mis à jour suivant l’évolution des symptômes du patient et pour constituer un recueil de renseignements qualitatifs et quantitatifs.
Une approche simplifiée du bilan kiné
Masser, rééduquer et soulager les patients de la douleur sont les principales missions d’un kiné. Cependant, ce professionnel de santé est également appelé à gérer ses rendez-vous et son cabinet pour pouvoir mener ses interventions en toute tranquillité. Alors, pour éviter de se retrouver sous une pile de fiches de synthèses pendant qu’il exécute des bilans diagnostic kiné, il est préférable pour lui d’avoir recours à un logiciel de gestion spécialement conçu pour aider les kinésithérapeutes au quotidien.
Le logiciel BDKapp développé par VEGA apparaît comme la meilleure solution pour simplifier la délivrance du bilan kiné. Cette application s’adresse à tous les masseurs kinésithérapeutes qui souhaitent procéder aux évaluations en peu de temps et de manière fiable. Conçu avec l’aide de spécialistes confirmés, BDKapp est un outil qui vous aide à créer instantanément une fiche de bilan diagnostic kinésithérapique. Pour ce faire, il vous suffit de choisir un modèle et le tour est joué !
La navigation intuitive qu’offre cette application permet par ailleurs de faire le bilan en quelques clics grâce au mode Express. Une fois que la fiche patient est prête, BDKapp vous permet de partage le document PDF obtenu à la caisse de Sécurité Sociale. De plus, l’application vous aide à actualiser un bilan kiné en quelques secondes si des modifications surviennent pendant le processus de soin.
Par ailleurs, BDKapp est entièrement modulable. En conséquence, quel que soit votre mode d’utilisation, vous avez la possibilité d’adapter le contenu prérempli en fonction des spécificités de chaque patient. Optez pour le type de rédaction qui vous convient le plus : standard, personnalisée ou express, et le logiciel s’adapte immédiatement à votre façon de travailler.
Enfin, la solution proposée par VEGA pour une approche simplifiée du BDK vous guide à travers toutes les phases de l’évaluation. Grâce aux multiples fonctionnalités de ce logiciel, vos bilans seront parfaitement écrits, efficaces et conformes aux exigences réglementaires.
Un outil complet pour réaliser vos bilans kiné
Pour établir un bon BDK kiné, le spécialiste doit se référer à la méthode ROM d’Eric Viel : Relater, Observer et Mesurer.
La première phase consiste en un entretien avec le patient. Le but de cet interrogatoire est de comprendre l’histoire de la pathologie. Pour que cette phase puisse se dérouler dans les normes, le kiné doit s’assurer d’instaurer une relation de confiance avec son interlocuteur.
Le premier bilan kiné réalisé par le professionnel est d’ordre visuel. Le kinésithérapeute fait attention aux éventuelles déformations visibles. Au besoin, il examinera la peau du patient. Au cours de cet examen, différents aspects sont considérés : la couleur de la peau, son volume, ses sécrétions, son apparence, la pilosité, les blessures, les cicatrices, les grains de beauté, les scarifications et les kystes. Pour finir l’examen visuel, le thérapeute cherche à mettre en évidence une éventuelle amyotrophie.
Ensuite vient le bilan kiné palpatoire. L’objectif est d’avoir une idée précise des qualités physiologiques de l’épiderme et de la mobilité tissulaire du corps du patient. En d’autres termes, spécifiquement en ce qui concerne la peau par exemple, le kiné vérifie les propriétés mécaniques telles que l’élasticité, l’épaisseur ou l’extensibilité.
Enfin, le masseur kinésithérapeute évalue la trophicité et la circulation sanguine. Pour ce faire, différents paramètres tels que le pouls, la température et les œdèmes sont considérés. Il examine également la sensibilité de la peau afin de mettre en évidence :
- une paresthésie,
- une anesthésie,
- une hypoesthésie et une hyperesthésie.